Acquisitions de plusieurs murs commerciaux dans Paris par la SLP COLOMBUS REIM

Malmené par la crise sanitaire et le commerce en ligne, le commerce physique n’a toutefois pas dit son dernier mot et montre un réel potentiel de reprise. Pour preuve, ce programme d’investissement lancé par la SLP COLOMBUS REIM, spécialiste de la revalorisation des actifs immobiliers, qui englobe déjà l’acquisition de 4 commerces parisiens.

Des quartiers dynamiques qui restent des valeurs sûres

Le programme d’investissement lancé par la SLP COLOMBUS REIM se caractérise par la diversité des biens ciblés et leurs potentiels d’évolution. Le premier local de 150 m2 se situe au 59 rue de Meaux, dans le 19^ème arrondissement de Paris, entre le parc des Buttes Chaumont et le canal Saint-Martin, dans un quartier très vivant et en plein renouveau. Ce magasin est occupé par la célèbre enseigne bio NATURALIA depuis 2010.

Autre quartier parisien sans cesse en mouvement, le 10^ème arrondissement. Deux actifs y ont été acquis par le fonds : un bien de 164 m2 situé au 10 rue du Paradis, loué à la société 123 APPLICATIONS, spécialiste du transfert sur textile. Et un second de 128m2 se trouvant au 53 rue du Faubourg Saint-Martin et hébergeant depuis 7 ans une supérette, symbole du commerce de proximité.

Enfin, autre quartier ciblé pour la dernière acquisition de ce programme d’investissement, le 17^ème arrondissement. Plus précisément le 8 de la rue Brey. Il s’agit cette fois d’un local sur 3 niveaux, d’une superficie totale de 374 m2 qui abrite les activités de la société PEGGY SAGE, spécialiste français reconnu de la cosmétique et du maquillage. La marque y commercialise ses produits et forme également dans ces mêmes locaux les professionnels de demain.

 Un programme d’investissement en copropriété dans Paris

Plusieurs partenaires ont contribué à ce programme d’investissement. Des Brokers, comme ACCIE CONSEIL, IMMOBILIER COMMERCIAL CONSEIL, GUY HOQUET ou PRIME AXE. Des notaires, avec MARIE-CLAUDE REMY et le cabinet STROCK ET ASSOCIES. Enfin, les financements ont été assurés par la Caisse d’Epargne Bourgogne Franche Comté et la Banque Palatine (Groupe BPCE).

Ce programme d’investissement de plus de 10 millions d’euros montre que le fonds COLOMBUS REIM est capable d’étendre son champ d’action. « Ce programme d’investissement est très complémentaire avec ceux que nous faisons habituellement. Nous sommes autant capables d’acquérir des immeubles de bureaux à des professionnels de l’immobilier que d’investir dans des murs commerciaux achetés à des particuliers. La stratégie est la même : une revalorisation optimale de l’actif et un repositionnement en adéquation avec les nouveaux besoins du marché » explique Jérémie Ifrah, Co-fondateur du Groupe Colombus.

Comme à son habitude, la SLP COLOMBUS REIM joue la carte de l’optimisation de chaque bien, même si cette fois il s’agit de copropriété. Cela se traduit par exemple par une renégociation des loyers ou par le choix d’un locataire dont l’activité est plus recherchée par le consommateur, comme une marque tendance ou un restaurant branché. D’ailleurs Jérémie Ifrah précise : « Le futur locataire de la rue de Paradis sera peut-être le prochain restaurant tendance de Paris, comme il s’en crée régulièrement dans ce  quartier ».

Miser sur le commerce physique

Après une période difficile, on constate une manifestation évidente des mutations du commerce dans la capitale. Et le marché immobilier des commerces s’en ressent, bénéficiant de la demande d’autres secteurs en plein essor (seconde main, mobilités douces, etc.) et du développement de secteurs moins récents mais également dynamiques (restauration rapide, décoration, cabinets médicaux…).

« Notre métier est d’anticiper les besoins et les habitudes des utilisateurs ou des consommateurs en fonction de l’actualité. L’année dernière, nous avions plutôt investi dans des bureaux en prévision des changements d’habitudes des collaborateurs dans leur façon de travailler suite au Covid. Là nous misons sur des commerces en anticipation du retour des consommateurs dans des commerces physiques après une période qui les obligeait à rester chez eux et à consommer en ligne » précise Arnaud Monnet, Directeur du pôle gestion immobilière de Laillet Bordier – Acer Finance.